De nos jours, les services d'une pharmacie de garde sont un sujet qui génère parfois des incompréhensions pour le citoyen qui a besoin d'un médicament en cas d'urgence et surtout la nuit. Dans cette optique, nous apportons dans ce guide une clarification sur cette question, en décrivant les fonctions réelles d'une pharmacie de garde.
Le maintien du droit d'appel fait partie des principes d'une pharmacie de garde
Le droit d'appel est un coût que la pharmacie de garde impute au citoyen qui contacte le pharmacien pendant les heures de fermeture. Elle est d'un montant de 7,50 € pendant la fermeture nocturne et de 10,00 € pour les pharmacies rurales subventionnées. Cliquez ici - même pour contacter rapidement une pharmacie de garde en cas d'urgence. En effet, le droit d'appel dans une pharmacie de garde est un élément du récépissé que le pharmacien est tenu d'exiger, et le seul cas où ce montant est omis est lorsque le citoyen présente une ordonnance mutualiste rouge établie par la garde médicale ou les urgences. Après tout, dans ce cas, le droit d'appel est remboursé à la pharmacie directement par l'entreprise de santé, ainsi que le coût du médicament déduit des éventuels tickets et quotas établis sur une base régionale. Dans tous les autres cas, ce droit est toujours appliqué.
Les pharmacies de garde fonctionnent aussi sur la base d'obligation d'intervention
Les cas dans lesquels le pharmacien est tenu de répondre à l'appel ne sont pas clairement spécifiés par une loi nationale, notamment parce que le service de nuit d'une pharmacie de garde est réglementé par des lois régionales spécifiques. Cependant, il existe des éléments communs aux différentes lois régionales, qui définissent essentiellement deux cas d'obligation d'intervention, la prescription médicale urgente et la situation d'urgence. Dans la seconde option d'obligation, même le médecin du service médical d'urgence devrait préciser la nature de l'urgence. Cependant, en règle générale, en présence d'une ordonnance des urgences, le pharmacien choisit d'intervenir dans tous les cas, car il part du principe que les ordonnances établies par ces structures présentent en elles-mêmes un caractère urgent. Alors que dans la première option d'obligation, pour les médicaments qui ne nécessitent pas de prescription médicale, le pharmacien peut choisir d'intervenir même en l'absence de celle-ci s'il estime que la demande du citoyen est effectivement urgente.